Vivre en ville, un organisme à but non lucratif présent à Montréal, Québec et Gatineau a rassemblé les représentants de seize municipalités de onze régions du Québec à Saint-Luc-de-Vincennes afin de donner la chance à ces communautés de partager les défis, les bonnes manières de faire et les outils entourant les communautés nourricières.
Le rôle de l’organisme est spécifiquement d’accompagner les municipalités et les MRC pour faire des changements dans leurs systèmes alimentaires afin de mener à des manières de faire qui sont plus durables. L’objectif de la rencontre était de donner cet espace nécessaire aux municipalités qui portent des (PDCN) Plan de Développement de Communautés Nourricières afin d’évaluer l’impact des PDCN afin de cibler les actions qui ont un réel impact.
« On a besoin de beaucoup de ressources pour réaliser les projets et elles sont limitées. On veut savoir où mettre notre énergie et notre argent. », nous dit Catherine Martel, conseillère en systèmes alimentaires de proximité pour Vivre en ville.
En avant-midi, une formation était donnée au centre communautaire sur le thème de la journée en collaboration avec l’institut Tamarack, expert d’évaluation d’impact collectif. S’en est suivie une visite de Saint-Luc-de-Vincennes et des environs. La Bourgade, la coopérative Massicotte et l’incubateur agricole de Sainte-Anne-de-la-Pérade faisaient partie du parcours.
La MRC des Chenaux a été citée en exemple pour ce qui est de l’émergence de projet d’autonomie alimentaire. Une reconnaissance dont nous pouvons être fiers.
